la vie et l'espoir
La solitude a remplacé l'absence Quand l'absence a endurcie les coursLe rêve a replacé la vieQuand celle-ci s'est avérée dure par momentLe silence a remplacé les motsQuand les mots ne suffisaient pas pour convaincreLe sourire a replacé les peines Quand leurs cause n'envalait pas le coupL'espérance a replacé les effortsQuand les efforts n'arrangent pas forcément les chosesMais l'optimisme a rencontré l'espoirEt l'espoir a remplacé la grisailleAfin de vaincre ce désespoir Et pouvoir avancer encore.
Tuesday, April 29, 2008
Sunday, April 27, 2008
Poèmes sur les enfants
Poèmes sur les enfants: "C'est un petit bonhomme
A peine haut comme trois pommes,
Tout débordant de vie
Pour prouver qu'il existe.
Il a le coeur très pur
Où il n'y a pas de murs,
Dans ses grands yeux ouverts
Brille tout un univers..."
Poèmes sur les enfants
kaina
Poèmes sur les enfants: "80. Un tout petit : bébé
C'est un rayon de soleil,
Un vrai cadeau du ciel
elle ressemble à un ange,
Tout rempli d'innocence
C'est le fruit de l'amour,
Le souvenir d'un jour
Où l'on a tout donné
Pour faire un nouveau né
elle aime être bercé
Dans des bras bien serrés,
Là, tout contre le coeur
Il fait croire au bonheur Comme l'oiseau dans son nid
elle découvre la vie,
elle regarde et elle rit,
On voit qu'elle a compris"
C'est un rayon de soleil,
Un vrai cadeau du ciel
elle ressemble à un ange,
Tout rempli d'innocence
C'est le fruit de l'amour,
Le souvenir d'un jour
Où l'on a tout donné
Pour faire un nouveau né
elle aime être bercé
Dans des bras bien serrés,
Là, tout contre le coeur
Il fait croire au bonheur Comme l'oiseau dans son nid
elle découvre la vie,
elle regarde et elle rit,
On voit qu'elle a compris"
Poèmes sur les enfants
Poèmes sur les enfants: "Lorsque l'enfant paraît le cercle de famille
Applaudit à grands cris ; son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être ?
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Enfant vous êtes l'aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Qu'on ose pas toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire
On rit, on se récrie, on l'appelle et sa mère
Tremble à le voir marcher...
Les yeux des enfants ont une douceur infinie,
Et leur petites mains, joyeuses et bénies,
Ignorent le mal encore !
Jamais, vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
A l'auréole d'or !
La nuit lorsque tout dort, quand l'esprit rêve, à l'heure
Où l'on entend parfois une petite voix qui pleure,
Sur des ailes d'azur,
Sans le comprendre encore, vous explorez le monde.
Double virginité : corps où rien n'est immonde,
Ame où rien n'est impur !
Il est si beau l'enfant avec son doux sourire,
Ses deux grands yeux ouverts qui ne savent pas mentir.
Dans le mal triomphant :
Préserve-moi Seigneur, d'été sans fleurs vermeilles,
De cage sans oiseaux, de ruche sans abeilles,
D'une Maison sans enfants ..."
Applaudit à grands cris ; son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être ?
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Enfant vous êtes l'aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Qu'on ose pas toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire
On rit, on se récrie, on l'appelle et sa mère
Tremble à le voir marcher...
Les yeux des enfants ont une douceur infinie,
Et leur petites mains, joyeuses et bénies,
Ignorent le mal encore !
Jamais, vos jeunes pas n'ont touché notre fange,
A l'auréole d'or !
La nuit lorsque tout dort, quand l'esprit rêve, à l'heure
Où l'on entend parfois une petite voix qui pleure,
Sur des ailes d'azur,
Sans le comprendre encore, vous explorez le monde.
Double virginité : corps où rien n'est immonde,
Ame où rien n'est impur !
Il est si beau l'enfant avec son doux sourire,
Ses deux grands yeux ouverts qui ne savent pas mentir.
Dans le mal triomphant :
Préserve-moi Seigneur, d'été sans fleurs vermeilles,
De cage sans oiseaux, de ruche sans abeilles,
D'une Maison sans enfants ..."
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uen pensé pour perper
Que j'aimerais qu'il revienneCe père que mon âme chéritCe père dont l'amitié me manqueCe père qui m'a accueilliTu es parti précipitammentTe dire au revoir, je n'ai pas eu le tempsJ'aurais encore aimé passer avec toi de bons momentsVoir ta famille une dernière fois tu n'a pas pu,Un père comme toi ça n'existe plusUn homme si aimant on en voit plusPour toujours tu as disparuIl ne reste que des photos à admirerEt des souvenirs je dois me contenterDans mon coeur tu resterasJusqu'au jour où l'on se retrouvera...
mon grand pere

ma grand mere

pour mamie
Pourquoi es-tu parti si loin de moi moi qui t'aimais tant ,Sans toi je me sens si triste , pourquoi m'as-tu quittée moi qui a tant besoin de toi , j'entend sans cesse ton nom ta voix J'aimerais que tu sois là près de moi, pour me consoler de mes peines qui noient mon coeur, s'il te plait laisse moi te serrer une dernière fois dans mes bras ...Tu me manques ...
baptem de thoma

juillet 2008
poémes d'amour et d'amitier pour chacun d'entre vous.
Une fleur pas comme les autres Ayant des pétales dorés et argentés
La fleur dès sa naissance Fait descendre la lune.
La fleur dès sa naissance Fait descendre la lune.
poéme
La poésie est notre rêve notre désir Dans son sommeil éternel Elle nous permet de chanter la vie De retrouver un espoir dans le cœur C’est la lumière de l’âme.
quel differnece que l'amour!!!!

Les grandes pensées viennent du coeur, et les grandes affections viennent de la raison. "
kaina
comment je suis bien la
halalala je dors , je dors
kaina
baptem de thoma

célia et kaina
une vrai mere poule
petit ange
née le 09.04.2008 a 13h35
mon petit filleule que j'aime tres fort
Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie.
je suis completement claquer
kaina